|  Le Secret Magique
Compte FondateurRevelio Date d'inscription : 09/02/2017 Messages : 244 Marks : 247
|  Sujet: 1. Talents Sam 27 Jan - 20:43 | |
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TALENTS
Présentation
| Legilimancie ◆ Aptitude acquise permettant de “lire” les pensées de la cible.
| Occlumancie ◆ Aptitude acquise permettant de fermer son esprit aux intrusions extérieures.
| Maîtrise des Runes ◆ Aptitude acquise qui permet de déchiffrer les textes runiques, d’utiliser les runes pour divers sorts et rituels magiques.
| Voyance ◆ Aptitude mêlant l’inné et l’acquis autrement connu sous le nom de “Troisième Oeil”. La voyance permet de voir des choses que le commun des sorciers ne peut pas voir ou ressentir.
→ Registre des particularités. |
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Compte Fondateur Revelio Date d'inscription : 09/02/2017 Messages : 244 Marks : 247
| | Sujet: Re: 1. Talents Sam 27 Jan - 20:47 | |
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TALENT
La legilimencie
Description : Le Legilimens est un sorcier qui peut pénétrer l'esprit des autres. On évoque souvent l'idée de "lire dans les pensées" et même si la réalité est autrement plus complexe il s'agit bien du but premier de cette magie. Tout comme l'occlumancie, c'est une forme de magie qui touche l'esprit et qui est de fait très difficile à pratiquer et non enseignée dans les écoles tout comme à l'Institut de Durmstrang. Les sorciers qui souhaitent devenir Legilimens doivent donc impérativement se trouver un maître, car il est impossible d'apprendre cette pratique seul. Pratique : Tous les sorciers ne sont pas égaux face à cette magie, et les Legilimens qui acceptent de prendre des disciples savent rapidement reconnaître le profil du sorcier qui parviendra à maîtriser la discipline et le profil de celui qui abandonnera. La legilimancie nécessite, à l'instar de l'occlumancie, une force mentale et une concentration très importante ; il s'agit d'assujettir l'esprit de la cible au sien, de le dominer avant de pouvoir en tirer une quelconque information. Il ne s'agit pas d'un acte magique anodin. Que le Legilimens soit discret lorsqu'il s'introduit dans l'esprit de sa victime ou bien brutal, une telle opération laisse des stigmates. Un Legilimens de haut niveau peut éviter des désagréments visibles comme les saignements de nez ou les tremblements compulsifs, mais il se retrouve tout de même nécessairement confronté à un épuisement physique conséquent. La legilimancie est une magie qui peut être utilisée avec une baguette, comme le font certains Legilimens moins expérimentés pour s'aider dans la pratique, mais s'il s'agit d'un art aussi recherché et respecté c'est parce qu'il peut être effectué sans baguette et donc en toute discrétion. Pourtant les sorciers qui parviennent à pénétrer l'esprit de leur cible sans laisser de traces et sans se faire remarquer sont très rares, et un tel acte nécessite une maîtrise très élevée de l'art. LA RELATION MAÎTRE/APPRENTI- En savoir plus:
Une des clés de l’apprentissage de la legilimancie est de trouver un maître. Il s’agit là d’une condition sine qua non, sans le contrôle et le suivi d’un maître il est impossible de pouvoir accéder à cette magie. Toutefois il ne s’agit pas là d’une banale relation élève/professeur ; étant donné la nature de l’apprentissage, l’élève ne peut rien dissimuler à son maître qui souvent l’utilisera comme cible pour une mise en pratique de la legilimancie. Et nécessairement, il viendra un temps où le maître ne pourra à son tour plus rien dissimuler à son apprenti comme il se soumettra de lui même à la magie de l’élève. La confiance est de fait ce qu’il y a de plus important pour que la relation puisse correctement fonctionner mais c’est hélas loin d’être le cas. L’histoire regorge d’anecdotes sur des maîtres qui prenaient peur au moment de livrer leur esprit à leur élève et les abandonnaient au milieu de leur apprentissage ou bien sur des élèves qui, dans leur soif de savoir, finissaient par détruire l’esprit de leur maître. Avec une telle légende noire, on peut comprendre que la relation maître/élève soit parfois tendue.
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| | Sujet: Re: 1. Talents Sam 27 Jan - 20:53 | |
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Talent
L'occlumencie
Description : Les sorciers qui maîtrisent l'occlumancie sont capables de fermer leur esprit aux attaques mentales extérieures. Ce don est surtout connu pour être utile contre les legilimens mais il permet aussi de protéger son esprit contre d'autres sortes d'assaut d'ordre mental, comme les sorts d'oubli. Un tel talent, qui semble ne nécessiter rien d'autre qu'un peu de force psychique, n'est pourtant pas à la portée du premier venu.
Apprentissage : L'occlumancie est une forme d'art qui touche à l'esprit et de fait n'est pas enseignée à l'Institut de Durmstrang ou bien dans les autres écoles. C'est une pratique qui doit s'apprendre en parallèle, et seulement à partir d'un certain âge. Un apprentissage précoce pourrait en effet provoquer d'importants traumatismes. En outre, il ne s'agit pas d'une pratique qui s'apprend seul ; les occlumens autodidactes sont en général bien moins assurés que les autres, qui ont pu avoir l'appui d'un maître pour les guider. Cet apprentissage est long et difficile car pour pouvoir fermer correctement son esprit, il faut déjà le comprendre et le connaître. Ils sont nombreux, les aspirants occlumens qui renoncent finalement, après avoir dû faire face à des souvenirs qu'ils auraient préféré garder enfouis. L'occlumancie a pour utilité de protéger l'esprit du sorcier, tous les souvenirs avec lesquels il n'est pas à l'aise sont d'autant de pans de sa psyché qu'il offre comme point d'attaque aux intrusions et aux sorts.
Pratique : Face à cette magie, tous les sorciers ne sont donc pas égaux et elle demande afin d'être maîtrisée une force psychique et une capacité de concentration importante. Et même passé le temps de l'apprentissage, un maître Occlumens continue de devoir travailler sur son esprit régulièrement pour ne pas perdre la main. Résister aux attaques mentales nécessite une très grande force, physique en plus de magique et les migraines sont courantes parmi les Occlumens, qui tentent souvent de les parer en ingérant diverses potions. |
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| | Sujet: Re: 1. Talents Sam 27 Jan - 20:57 | |
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Talent
La maîtrise des runes
Description : La maîtrise des runes a longtemps été une pratique laissée de côté par rapport à une magie plus directe. Les runistes furent beaucoup associés à l’image de l’intellectuel à une époque où l’importance d’une personne se mesurait davantage à sa force qu’à sa sagesse. C’est au début du XIXe siècle que les runes, qui risquaient de sombrer dans l’oubli, se retrouvent portées par un regain d’intérêt. Les expéditions d’explorateurs notamment en Egypte ont mis au jour des mystères antiques que seuls des runistes expérimentés pouvaient décrypter. L’étude des runes fut alors au début du XIXe siècle une discipline que la plupart des écoles magiques rajoutèrent à leur programme afin de favoriser le partage et la connaissance de ce savoir qui avait bien failli être totalement annihilé. Cette discipline enseigne donc le langage des runes, une langue officiellement morte qui était surtout présente dans les pays nordiques durant l’Antiquité tardive. Les runes étaient utilisées à l’époque par les sorciers notamment pour rédiger leurs recettes de philtres, leurs recherches sur les inventions de sortilèges. Une grande partie des runes qui ont subsisté jusqu’à l’époque moderne sont surtout celles qui scellent différents objets ou lieu, le plus souvent sacrés. Ce langage qui au départ était l’apanage des pays du nord s’est peu à peu étendu aux autres pays en subissant parfois quelques altérations, ce qui explique la présence des runes dans les lieux aussi éloignés de l’Europe nordique mais aussi certaines difficultés qu’ont les spécialistes à les déchiffrer. Pratique : Une connaissance des runes superficielle peut permettre de lire des textes académiques ou déjà traduits mais il faut un savoir bien plus poussé pour pouvoir prétendre être un maître runiste. Ces maîtres ne sont pas si nombreux et extrêmement recherchés pour leur savoir. Un sorcier en possession d’un artefact scellé par des runes devra faire appel à un runiste expérimenté afin de déverrouiller la magie contenue dans l’objet. Les maîtres des runes agissent sous le regard d’une instance, le Collegium, dirigée par seize Docteurs. Ce sont eux qui accordent aux runistes le titre de maître et ce sont eux également qui contrôlent les différentes découvertes liées aux runes. Le Collegium : - En savoir plus:
Le Collegium est un bâtiment circulaire, construit au XVIe siècle, surmonté d’une coupole où se trouvent les quartiers de l’ONA (Observatoire National Allemand). Il se situe dans la ville de Bielefeld, dans le Land de Bonn ; une ville qui a l’étrange particularité d’être incartable et de changer de place. Ce sont les essais runiques pratiqués sur ce terrain depuis plusieurs siècles qui ont rendu le territoire de la ville légèrement instable mais l’impact sur la vie de tous les jours restent mineur : les transplanages et liaisons de cheminées ne sont pas touchées par la magie runique qui émane du sol. Encore maintenant quelques zones de la ville sont strictement fermées au public et dissimulées aux moldus en raison des recherches que les experts mènent sur les anciennes runes implantées là par les mages des siècles précédents.
La hiérarchie : - En savoir plus:
Chaque runiste qui désire exercer son talent pour autrui et faire payer ses services doit disposer d’une Permission - une lettre cachetée délivrée uniquement par les Docteurs du Collegium qui légalisent leur travail. Il s’agit d’une façon de contrôler les runistes pratiquant sur le territoire. En plus de ce contrôle une taxe a été instaurée sur le salaire perçu par un maître runiste déclaré. En échange de cette taxe qui offre un salaire plus que décent aux seize Docteurs, ces derniers sont chargés de mettre en commun les différents savoir sur les runes afin de le mutualiser et également de coordonner diverses recherches. Les seize Docteurs sont des maîtres incontestés des runes, élus par leurs pairs. L’élection d’un Docteur n’a lieu que lorsqu’une des seize chaires se vide, à la mort d’un des titulaires du titre.
La déroulement d'un contrat : - En savoir plus:
On ne peut pas faire appel à un runiste comme on fait appel à un plombier : les contrats impliquant l’utilisation d’un savoir runique doivent passer par toute une procédure parfaitement huilée. Le client doit d’abord contacter un maître runiste certifié, c’est à dire possédant la lettre cachetée produite par le Collegium, et doivent établir ensemble un contrat écrit spécifiant la nature du travail. Ce contrat dûment signé est ensuite envoyé au Collegium où une commission d’au moins cinq Docteurs l’étudient avant de la valider. L’autorisation est ensuite renvoyée au client ainsi qu’au maître runiste employé avec le pourcentage de taxe dont les deux devront s’acquitter envers le Collegium. Le contrat peut ensuite pleinement se dérouler. À l’issu du travail, le maître runiste doit rédiger un rapport où il reporte ses actions ainsi que les résultats, afin que tout soit conservé dans les archives du Collegium. Cette procédure permet aux Docteurs de poser un veto sur certains travaux qu’ils ne veulent pas voir effectuer ou sert parfois de mesure de rétorsion envers un maître runiste qui aurait un peu trop de pulsion d’indépendance. Cette méthode de travail est ce qui pousse certains runistes à refuser de demander une Permission au Collegium et à travailler au noir.
Les dissidents : - En savoir plus:
Il y a des runistes qui, pour différentes raisons, préfèrent travailler sans l'autorisation du Collegium. Il n'existe après tout aucune loi qui pourrait sanctionner ce genre de comportement et le Collegium n'a théoriquement pas le pouvoir de sanctionner les réfractaires d'une quelconque façon. Pour ces runistes dissidents, le salaire est souvent moins bon, faute de posséder la Permission qui joue le rôle d'un label de qualité, mais la liberté est bien plus importante. Une liberté qui a un prix : si juridiquement le Collegium n'a aucune le droit de poursuivre un runiste indépendant, la réalité donne un différent son de cloche. Les dissidents qui se font connaître un peu trop ouvertement disparaissent mystérieusement pour ne réapparaître que quelques mois plus tard, cette fois parfaitement rentrés dans le rang, et souvent beaucoup moins bavards. Ou ne réapparaissent jamais. Runiste indépendant est un métier à risque.
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| | Sujet: Re: 1. Talents Sam 27 Jan - 21:04 | |
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Talent
La voyance
Description : La voyance est un talent mi-inné, mi-acquis qui permet au sorcier de saisir des bribes du passé, du présent ou même du futur. C'est surtout pour cette troisième possibilité que la voyance est devenue une branche magique renommée ; les hommes ont après tout toujours cherché à percer les secrets de l'avenir. Nul théoricien n'est jamais parvenu à expliquer l'origine des visions, pas plus que leurs causes. Si des travaux de recherche sont encore effectués il n'existe qu'une seule certitude : ce talent n'est pas à la portée de tous les sorciers. Le Troisième Oeil, comme on l'appelle aussi, n'est pas quelque chose qui s'obtient à force de lecture et de pratique, c'est un don inné qu'il faut toutefois travailler et explorer pour espérer un jour le maîtriser. Pratique : Il existe de fait un certain nombre de voyants qui, parfois parce qu'ils n'ont pas conscience de leur don. Ils ne font rien pour essayer de le canaliser et se laissent porter par des visions impromptues, des ressentis vagues ou de fugitifs malaises en passant dans des lieux chargés d'Histoire et de morts. Parce qu'il n'est pas simple de vivre avec le Troisième Oeil ; ne pas cultiver son don n'est pas synonyme de le voir disparaître, mais bien de le voir se manifester sans que l'on puisse rien y faire. Si certaines visions, fugaces, ne sont pas handicapantes, d'autres échos du passé ou du futur peuvent entraver parfois la journée d'un voyant. Et ils ne sont pas rares ceux qui, lorsqu'ils ressentent au réveil le voile du Temps bruisser au dessus d'eux, décident de rester cloîtrés pour la journée, afin de ne pas avoir à subir les nombreuses perturbations de l'extérieur qui agissent souvent comme autant de stimulis pour leur don. Puis il y a les autres voyants, ceux qui se sont appliqués à accepter leur don et à le connaître. Eux également peuvent avoir des visions intrusives, mais ils savent bien mieux les gérer. En outre, ils usent en parallèle de catalyseur. Il s'agit de méthodes qui permettent de canaliser le don à travers un acte de voyance spécifique, pour ainsi donner au sorcier l'occasion de garder le contrôle sur la façon dont les informations lui parviennent. Chaque voyant à son catalyseur fétiche, de la lecture des lignes de la main, jusqu'à l'étude des feuilles de thé en passant par l'usage de boule de cristal. Place dans la société : Si beaucoup de voyants voient leur don comme un fardeau, la majorité de la population sorcière n'a pas le même avis. Certains même envient la possibilité qu'ont ces personnes de pouvoir jeter un oeil du côté du futur, et payent très cher pour y avoir accès le temps d'une séance. Parce que si une grande partie des voyants ne tolèrent pas l'idée de mettre leur talent sur le marché, il y en a qui n'hésitent toutefois pas à vendre leur don, moyennant de grosses sommes, afin d'arrondir les fins de mois. Dans les conversations privées, on peut se moquer de ceux qui vont dépenser leur argent de cette manière, mais on n'oserait se moquer d'un voyant. C'est un respect mêlé à une grande part de fascination qui entoure ces êtres, et de nombreux charlatans s'en sont aperçus et en profitent pour s'improviser voyants, monter leur commerce pour vendre au plus offrant des morceaux d'avenir choisis. Le catalyseurs : - En savoir plus:
Il existe différents catalyseurs que les sorciers ont développés au fil des siècles pour contrôler le Troisième Oeil. Certains sont toutefois plus acceptés que d’autres au sein de la société, et de fait plus courant. La plupart des Voyants sont des adeptes de la cristallomancie (boule de cristal); taromancie (cartes de tarot), chiromancie (ligne de la main), tasséomancie (tasse de thé/café). Il s’agit là des procédés les plus simples. D’autres techniques un peu plus compliquée comme la lecture dans les étoiles ou encore l’interprétation des rêves sont tout de même courantes. En revanche, il est rare de trouver un Voyant qui a encore recours aux techniques des augures (lire dans le vol des oiseaux) ou des haruspices (lire dans les organes) pour canaliser les visions du Troisième Oeil. Ces méthodes sont estimées trop proches des superstitions païennes pour être véritablement efficaces et la dernière, tout particulièrement, peut être jugée cruelle et barbare.
Le passé, le présent et le futur : - En savoir plus:
Le Troisième Oeil n’est pas une capacité qui permet de simplement voir le futur comme certains sorciers peuvent le croire. Il s’agit en réalité d’un talent qui offre à son détenteur la possibilité de ressentir, à travers n’importe lequel des cinq sens, des bribes du Temps. Les sens les plus souvent sollicités restent la vue et l’ouïe mais il n’est pas si rare qu’un voyant puisse sentir sa peau se glacer ou ses tripes se tordre durant une transe.
Le Temps est un concept difficile à cerner. C’est comme si un voile séparait les différentes temporalités, un voile à travers lequel les Voyants pourraient parfois lancer des regards et percevoir des images de ce qu’il dissimule.
Certains sorciers dotés du Troisième Oeil sont plus susceptibles de ressentir des événements du passé que d’autres, et vice-versa, mais un Voyant n’est que très rarement restreint à une unique perception, sauf s’il se contraint lui-même au prix de grands efforts.
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